“When the Cirque du Soleil approaches creators it asks them to venture into new scenographic and narrative territories. (…) We started from stereotypes… in order to overturn them. Ubiquitous slowness? We replaced it with speed – that of the Tarahumara, a Mexican people who live in the mountains and can run up to 200 kilometres non-stop, barefoot or wearing light sandals. Speed thus becomes an interesting element in circus language too, with its quest for extreme performance, thanks to magnificent acrobats and gymnasts drawn from around the world. For us, then, Mexican people display a great physical and spiritual capacity to go beyond incredible limits.” Daniele Finzi Pasca

"Dedico este sueño a los ángeles que viene por la noche a visitarme. Al mundo de los Clowns, al que pertenezco; a la catedral de Chartres, que después el vientre de mi madre es el segundo lugar donde fui concebido. A las fotografías que mis padres le robaron a la realidad y que yo puse en movimiento; a los circos y a sus artistas. He intentado que brote bajo la carpa del circo el teatro y su perspectiva, hecho de imágenes que se superponen. Invité a los acróbatas a pensar como lo hacen los actores, a ser hermosos y honestos, hermosos como lo son las historias de amor. Tuve suerte, porque estaba rodeado de maravillosos creadores con los que nos sumergimos en una aventura común, tratando de estar cerca unos de otros, recibiendo también el apoyo del equipo de producción, que nos permitió llevar adelante nuestro sueño. También tuve cerca de mis amigo de la trouppe Teatro Sunil, con quienes hace más de 20 años buscamos llevar la belleza y la honestidad a los escenarios. Organizarse el propio funeral hace bien. Por un momento, uno se siente necesario y motivado a continuar el viaje, que de hecho no es otra […]

"J’ai tenté de ramener le théâtre et sa perspective — faite d’images qui se superposent — sous le chapiteau et j’ai demandé aux acrobates de penser comme pensent les acteurs, d’être beaux et honnêtes comme le sont les belles amours. J’ai eu de la chance, parce que j’ai été entouré par de magnifiques créateurs avec lesquels nous avons plongé dans un monde commun, en cherchant à être près les uns des autres et dans cette aventure, nous avons aussi été soutenus par toute l’équipe de production qui nous a laissé rêver. J’ai eu près de moi aussi les amis de ma troupe, le Teatro Sunil, avec qui depuis plus de vingt ans nous cherchons beauté et honnêteté sur scène. Se faire son propre enterrement fait du bien, on se sent pour un moment nécessaire et ça donne envie de poursuivre la route, le voyage, qui en fait, n’est rien d’autre qu’un long retour à la maison." Daniele Finzi Pasca

"J’ai tenté de ramener le théâtre et sa perspective — faite d’images qui se superposent — sous le chapiteau et j’ai demandé aux acrobates de penser comme pensent les acteurs, d’être beaux et honnêtes comme le sont les belles amours. J’ai eu de la chance, parce que j’ai été entouré par de magnifiques créateurs avec lesquels nous avons plongé dans un monde commun, en cherchant à être près les uns des autres et dans cette aventure, nous avons aussi été soutenus par toute l’équipe de production qui nous a laissé rêver. J’ai eu près de moi aussi les amis de ma troupe, le Teatro Sunil, avec qui depuis plus de vingt ans nous cherchons beauté et honnêteté sur scène. Se faire son propre enterrement fait du bien, on se sent pour un moment nécessaire et ça donne envie de poursuivre la route, le voyage, qui en fait, n’est rien d’autre qu’un long retour à la maison." Daniele Finzi Pasca

"Icaro a été conçu rapidement et a été répété pendant deux mois. Par la suite, il a sans cesse été peaufiné. C’est un spectacle simple comme l’étaient les histoires que contait ma grand-mère. Elle m’a appris le secret pour faire le gnocchi et la crostata alle mele, précieuses recettes qu’après j’ai systématiquement appliquées dans mes créations théâtrales. Préparer un repas est un prétexte pour rencontrer le monde. Ma grand-mère, qui n’a jamais quitté sa cuisine, a découvert le monde en invitant sa famille à manger." Daniele Finzi Pasca

"Dans une certaine mesure nous sommes tous des acrobates et nous savons que la vie se déplace tout le temps à un point où il n’y a pas d’équilibre. J’essayais toujours de trouver une langue qui touche les âmes des spectateurs d’aujourd’hui. Cette histoire est racontée à l’époque moderne et l’utilisation d’un langage moderne qui provient des vielles traditions de l’abstraction, des allusions et des images qui sont près des rêves. Il nous aide à comprendre qui nous sommes, dans un cercle ouvert allant des danseurs aux chanteurs, des acrobates aux musiciens. Comme enfants : les enfants demandent qu’on leur raconte un conte de fées la nuit pour qu’ils puissent rêver et vaincre leurs peurs. L’abstraction mène au dialogue avec l’inconscient dont le pouvoir de la musique de Leoncavallo apparaît avec son histoire courte et simple." Daniele Finzi Pasca

"J’ai tenté de ramener le théâtre et sa perspective — faite d’images qui se superposent — sous le chapiteau et j’ai demandé aux acrobates de penser comme pensent les acteurs, d’être beaux et honnêtes comme le sont les belles amours. J’ai eu de la chance, parce que j’ai été entouré par de magnifiques créateurs avec lesquels nous avons plongé dans un monde commun, en cherchant à être près les uns des autres et dans cette aventure, nous avons aussi été soutenus par toute l’équipe de production qui nous a laissé rêver. J’ai eu près de moi aussi les amis de ma troupe, le Teatro Sunil, avec qui depuis plus de vingt ans nous cherchons beauté et honnêteté sur scène. Se faire son propre enterrement fait du bien, on se sent pour un moment nécessaire et ça donne envie de poursuivre la route, le voyage, qui en fait, n’est rien d’autre qu’un long retour à la maison." Daniele Finzi Pasca

"J’ai tenté de ramener le théâtre et sa perspective — faite d’images qui se superposent — sous le chapiteau et j’ai demandé aux acrobates de penser comme pensent les acteurs, d’être beaux et honnêtes comme le sont les belles amours. J’ai eu de la chance, parce que j’ai été entouré par de magnifiques créateurs avec lesquels nous avons plongé dans un monde commun, en cherchant à être près les uns des autres et dans cette aventure, nous avons aussi été soutenus par toute l’équipe de production qui nous a laissé rêver. J’ai eu près de moi aussi les amis de ma troupe, le Teatro Sunil, avec qui depuis plus de vingt ans nous cherchons beauté et honnêteté sur scène. Se faire son propre enterrement fait du bien, on se sent pour un moment nécessaire et ça donne envie de poursuivre la route, le voyage, qui en fait, n’est rien d’autre qu’un long retour à la maison." Daniele Finzi Pasca

"J’ai décidé de découvrir Tchekhov en recherchant les particularités, les détails, en cherchant dans sa vie, entre les pages de ses écrits et ailleurs. J’ai pensé donner une forme aux silences contenus dans ses notes et dans ses journaux et créer des images en partant de ses annotations. Je viens d’un théâtre profondément imprégné du langage des clowns, des jongleurs, du monde délicat et magique de l’acrobatie. C’est ainsi que je raconterai Tchekhov et, pour réaliser ce projet, je m’entourerai des complices de toujours, des créateurs avec lesquels je collabore depuis des années, en partageant non seulement une esthétique et une façon de concevoir le théâtre, mais aussi la manière passionnée de défendre notre monde imaginaire." Daniele Finzi Pasca

"J’ai tenté de ramener le théâtre et sa perspective — faite d’images qui se superposent — sous le chapiteau et j’ai demandé aux acrobates de penser comme pensent les acteurs, d’être beaux et honnêtes comme le sont les belles amours. J’ai eu de la chance, parce que j’ai été entouré par de magnifiques créateurs avec lesquels nous avons plongé dans un monde commun, en cherchant à être près les uns des autres et dans cette aventure, nous avons aussi été soutenus par toute l’équipe de production qui nous a laissé rêver. J’ai eu près de moi aussi les amis de ma troupe, le Teatro Sunil, avec qui depuis plus de vingt ans nous cherchons beauté et honnêteté sur scène. Se faire son propre enterrement fait du bien, on se sent pour un moment nécessaire et ça donne envie de poursuivre la route, le voyage, qui en fait, n’est rien d’autre qu’un long retour à la maison." Daniele Finzi Pasca

“J’ai décidé de découvrir Tchekhov en recherchant les particularités, les détails, en cherchant dans sa vie, entre les pages de ses écrits et ailleurs. J’ai pensé donner une forme aux silences contenus dans ses notes et dans ses journaux et créer des images en partant de ses annotations. Je viens d’un théâtre profondément imprégné du langage des clowns, des jongleurs, du monde délicat et magique de l’acrobatie. C’est ainsi que je raconterai Tchekhov et, pour réaliser ce projet, je m’entourerai des complices de toujours, des créateurs avec lesquels je collabore depuis des années, en partageant non seulement une esthétique et une façon de concevoir le théâtre, mais aussi la manière passionnée de défendre notre monde imaginaire.” Daniele Finzi Pasca