Toute la journée

Luzia – Vancouver

Concord Pacific Place 88 Pacific Blvd, Vancouver

“When the Cirque du Soleil approaches creators it asks them to venture into new scenographic and narrative territories. (…) We started from stereotypes… in order to overturn them. Ubiquitous slowness? We replaced it with speed – that of the Tarahumara, a Mexican people who live in the mountains and can run up to 200 kilometres non-stop, barefoot or wearing light sandals. Speed thus becomes an interesting element in circus language too, with its quest for extreme performance, thanks to magnificent acrobats and gymnasts drawn from around the world. For us, then, Mexican people display a great physical and spiritual capacity to go beyond incredible limits.” Daniele Finzi Pasca

Corteo – Nuremberg

Arena Nürnberger Versicherungen Kurt-Leucht-Weg 11, Nürnberg

« Je crois que de se faire son propre enterrement, je veux dire, essayer de se l’imaginer plein d’invités, avec une fanfare menant le cortège, avec tous les amis, les amours, les parents et aussi avec les ennemis, est une bonne chose pour la santé. Rêver qu’on se souvienne de soi, être sûr d’avoir laissé des traces, donne une juste pointe de nostalgie à la vie. Dans ce spectacle, un clown invente ses funérailles et se les imagine avec beaucoup de gens qui pleurent, avec une musique qui devient folle, avec une exubérante visite d’images et de personnes de sa vie, de la vie qu’il a vécue et de la vie qu’il s’est inventée. J’ai dédié ce rêve aux anges qui viennent me surprendre la nuit, au monde des clowns auquel j’appartiens, à la cathédrale de Chartres qui, après le ventre de ma mère, est le deuxième endroit où j’ai été couvé, aux photos que mes parents ont volées à la réalité et que moi je mets en mouvement, aux cirques et à leurs artistes. J’ai tenté de ramener le théâtre et sa perspective — faite d’images qui se superposent — sous le chapiteau et j’ai demandé aux acrobates de […]

Bianco su Bianco – Aalborg

Aalborg Teater Jernbanegade 11, Aalborg

« Ce spectacle proposera de nouveau, toujours selon notre façon de raconter, des histoires en équilibre entre la douceur et la nostalgie absurde, un monde surréel, férocement serein, un théâtre qui pose des réflexions sur soi-même, où les acteurs utilisent le proscénium pour dialoguer avec le public, où l’illusion et les artifices se dévoilent toujours à la fin, où on rit et s’émeut, où les clowns n’incarnent pas la stupidité mais la fragilité des héros perdants. » Daniele Finzi Pasca

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