Toute la journée

Bianco su Bianco – Mexico City

Centro Cultural Helénico Av. Revolución 1500, Mexico City

« Ce spectacle proposera de nouveau, toujours selon notre façon de raconter, des histoires en équilibre entre la douceur et la nostalgie absurde, un monde surréel, férocement serein, un théâtre qui pose des réflexions sur soi-même, où les acteurs utilisent le proscénium pour dialoguer avec le public, où l’illusion et les artifices se dévoilent toujours à la fin, où on rit et s’émeut, où les clowns n’incarnent pas la stupidité mais la fragilité des héros perdants. » Daniele Finzi Pasca

Luzia – Washington

Grand Chapiteau at Lerner Town Square at Tysons II 8025 Galleria Dr, Tysons

« Je crois que de se faire son propre enterrement, je veux dire, essayer de se l’imaginer plein d’invités, avec une fanfare menant le cortège, avec tous les amis, les amours, les parents et aussi avec les ennemis, est une bonne chose pour la santé. Rêver qu’on se souvienne de soi, être sûr d’avoir laissé des traces, donne une juste pointe de nostalgie à la vie. Dans ce spectacle, un clown invente ses funérailles et se les imagine avec beaucoup de gens qui pleurent, avec une musique qui devient folle, avec une exubérante visite d’images et de personnes de sa vie, de la vie qu’il a vécue et de la vie qu’il s’est inventée. J’ai dédié ce rêve aux anges qui viennent me surprendre la nuit, au monde des clowns auquel j’appartiens, à la cathédrale de Chartres qui, après le ventre de ma mère, est le deuxième endroit où j’ai été couvé, aux photos que mes parents ont volées à la réalité et que moi je mets en mouvement, aux cirques et à leurs artistes. J’ai tenté de ramener le théâtre et sa perspective — faite d’images qui se superposent — sous le chapiteau et j’ai demandé aux acrobates de […]

Corteo – Knoxville

Thompson-Boling Arena 1600 Phillip Fulmer Way #202, Knoxville

« Je crois que de se faire son propre enterrement, je veux dire, essayer de se l’imaginer plein d’invités, avec une fanfare menant le cortège, avec tous les amis, les amours, les parents et aussi avec les ennemis, est une bonne chose pour la santé. Rêver qu’on se souvienne de soi, être sûr d’avoir laissé des traces, donne une juste pointe de nostalgie à la vie. Dans ce spectacle, un clown invente ses funérailles et se les imagine avec beaucoup de gens qui pleurent, avec une musique qui devient folle, avec une exubérante visite d’images et de personnes de sa vie, de la vie qu’il a vécue et de la vie qu’il s’est inventée. J’ai dédié ce rêve aux anges qui viennent me surprendre la nuit, au monde des clowns auquel j’appartiens, à la cathédrale de Chartres qui, après le ventre de ma mère, est le deuxième endroit où j’ai été couvé, aux photos que mes parents ont volées à la réalité et que moi je mets en mouvement, aux cirques et à leurs artistes. J’ai tenté de ramener le théâtre et sa perspective — faite d’images qui se superposent — sous le chapiteau et j’ai demandé aux acrobates de […]

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